Think positive, jour 98 : Stephen Amell.

Blog, ce nom, que tu as vu ici et là, il va falloir le retenir. Il a déjà largemment envahi ma timeline twitter, et pourtant, j’essaie de limiter mes RT et mes tweets, mais rien à faire, quand je le vois, de près ou de loin, venir électriser ma timeline, je ne peux pas m’en empêcher.

Vous vous souvenez, l’acteur principal d’Arrow, l’espèce de bombasse absolue qui me donne chaud aux étiquettes ?

stephen-amell

 

Eh ben il se trouve qu’en plus d’être absolument à tomber…C’est juste quelqu’un de génial.

J’ai terminé la deuxième saison de Arrow il y a 48 heures, soit huit jours après avoir commencé la première. Huit jours pour regarder 46 épisodes, tout en continuant à travailler sur tous les projets divers dans lesquels je suis engagée. Ne cherchez pas, ça fait une moyenne de 5 épisodes par jour, et autant d’heures de sommeil en moins.

Je suis une très grande sérievore, depuis longtemps maintenant, et ça guide une partie de mes projets, dernièrement. Le Comic Con, c’est pour ça. Lancer des podcasts, un site, et une alliance de réseaux sociaux autour d’un concept de blogging, aussi. J’en aime beaucoup, j’en adore quelques-unes, et une ou deux me font péter un plomb.

Arrow, c’est au dessus de tout ça. Je vais m’expliquer dans un article plus long dans les jours qui viennent, parce que créer des liens ombilicaux, aussi vite, aussi forts, est exceptionnel, et jamais je ne me féliciterai assez d’avoir fait confiance à TF1, regardé le pilote de Flash, qui, par extension, m’ont embarquée dans la plus grande aventure fictionnelle qu’il m’ait été donné de découvrir. Mes séries préférées sont Once et The Flash, Arrow est carrément autre chose, un genre de monde à part où je suis connectée à chaque personnage avec une force rarissime pour une série. Ca va demander un certain travail pour expliquer le pourquoi du comment.

Revenons-donc à l’ami Stephen…

Les acteurs principaux de séries qui cartonnent, ils ne sont pas souvent ni accessibles, ni vraiment dispos. Et on ne peut pas vraiment leur en vouloir, tourner 23 episodes par saison est un boulot de titan, surtout dans le cas d’une série d’action où la majeure partie des scènes sont sans doublage. Ils ont aussi une vie, une famille, Stephen a une petite fille absolument adorable, une femme, et autant de passions que n’importe qui-le vin, nottament, ce qui est une constante chez les gens que j’aime, dernièrement-et consacrer du temps aux fans n’est pas forcément évident, ou facile à gérer.

Oui, mais non.

Ce type est génial.

En plus d’être présent à un grand nombre de conventions outre-atlantique, quantité d’évènements liés à son entreprise vinicole, d’être toujours partant pour toutes les photos de fans à droite ou à gauche, complice de certaines surprises, engagé dans un nombre important de charités diverses et variées, il est incroyablement présent sur facebook. Moi qui était sur le point de virer mon compte, je lui ai donné une seconde jeunesse…! Il poste très souvent, si ce n’est tous les jours, il répond aux gens-dans la limite du possible, avec 4 millions d’abonnés, il lui faudrait des journées de 460 heures pour répondre à tous-, il a un discours à la fois plein de gratitude, encourageant, drôle et désarmant de sincérité, il est franc, joueur, et donne une importance massive aux fans et aux créations de fans en les repostant sur son compte tous les trois jours. Et il poste des vidéos de lui répondant aux gens ou réagissant à des propos super régulièrement. Et encore, je ne parle même pas de son attitude brillante face aux trolls et aux anonymes qui agressent, que ce soit lui ou ses fans, non seulement il ne se laisse pas faire, mais en plus, il « name & shame », en pointant du doigt directement les interessés et en les mettant minables sans jamais sortir de ses gonds. Impressionnant.

Mais hier soir, toute cette attitude globalement hyper positive a pris une ampleur toute spécifique, puisqu’il a commencé à lancer quelque chose qu’il a nommé les Amell Facebook Sessions…De la vidéo live où il répond aux questions que les fans posent sur la page en temps réel. Du live chat, quoi ! Avec Stephen Amell…! Si ce n’est pas juste génial, je ne sais pas ce que c’est, et le plus beau de l’histoire, c’est qu’il met un point d’honneur à mentionner les gens, répondre au plus grand nombre de questions, réagir aux commentaires, souhaiter les anniversaires quand on le lui demande ou envoyer un message, et le tout avec un genre de simplicité, de normalité hallucinant, comme si c’etait une session skype avec un pote connu, qui se trouve être l’acteur qui joue Oliver Queen. 

C’est marrant, parce que cette année, je me suis essentiellement entourée de gens qui savent précisément que si ils sont là où ils sont aujourd’hui, ce n’est jamais que grâce au public, et qui font beaucoup pour rendre.

Bruno, forcément, champion du monde de la rencontre post-concert avec grands beaux remerciements hyper touchants et interêt génial donné aux gens et aux histoires des gens.

Muse, qui vont de plus en plus vers les fans, rencontrent en masse, et viennent rendre aux plus fidèles un amour qui dure depuis longtemps.

Grant, l’acteur principal de The Flash, l’autre coup de coeur de l’été, qui n’a de cesse de jouer avec les gens sur twitter, et était tout simplement secoué de sa séance de dédicace du Comic Con, où rencontrer tant de fans l’avait ému profondément.

Et maintenant Stephen, qui pousse le fan-service dans ses retranchements, et le fait simplement, à l’instinct.

Ben putain. Après être passée par deux ou trois trous du cul qui sont actuellement en train de payer le retour de karma de comportements pourris, il faut croire que j’ai enfin un sixième sens décent pour répérer les gens qui méritent d’être aimés par le public. Personne ne leur demande de faire plus que ce que la promo impose.

En plus, et c’est peut-être ce que j’aime le plus, tous ces gens que je viens de citer, s’illustrent par la dualité de leur attitude promo / public. En promo, ils sont quasiment tous mal à l’aise, alors qu’avec les fans, ils sont tous lumineux, bavards, et généreux.

Enfin, pour le coup, Stephen Amell, grosse, grosse raison de sourire, en ce moment.

Il a des copains…

 

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